Préparez vous à toucher le fond, le puits sans fond des suites à répétition et des gonflements de prépuce Russe !
Synopsis : Alors
que la bataille fait rage autour de l’héritage terrifiant du Tueur au
puzzle, un groupe de survivants s’associe et fait appel à un autre
rescapé, Bobby Dagen, une sorte de gourou. En croyant trouver de l’aide,
ils vont vivre le pire. Bobby cache d’effroyables secrets. Une vague de
terreur sans précédent va surgir…
La
grande promesse de ce énième SAW, laisse espérer un meilleur avenir
pour la série, puisqu'il se sous-titre lui même, "Chapitre Final" et ça
ferait du bien à tout le monde que cette sécrétion du premier
volet s’arrête là. Quand le réalisateur des chapitres précédents,
s'appelait "Bousman"
on savait à quoi s'attendre. Mais la non. Ce n'est pas que l'espoir soit au rendez-vous,
mais bon,... on regarde ces "Saw" (cailloux, feuilles) comme une vache
regarde passer un train, ou le "juste prix", Il est bon parfois
de s’arrêter de réfléchir et ici c'est primordial, car si par malheur
vous essayez de comprendre les relations, ou les rapports entres les
différents protagonistes, voir espérer se rappeler les six chapitres
précédents, tout aussi décousus, pour comprendre l'ensemble de ce
méli-mélo, vous comprendrez alors pourquoi Jigsaw, se faisait appeler le
"tueur au Puzzle". Le meilleur des puzzles est celui qui n'a aucune
solution, mais qui fait croire le plus longtemps possible qu'il y en à
une, aux blaireaux. Sans émotions, sans envies, dans un décor que
Derrick aurait refusé lui même, car trop triste, les acteurs se
croisent, semblent se reconnaître, balancent deux phrases de
dialogue insipide et s'en vont. Mais quoi? Pourquoi, il sort d’où lui,
et ELLE là; c'est celle du troisième ou du quatrième????...non petit, ne
réfléchis surtout pas, il est là le piège, car voila arrivé la scène de
torture. Comme un cheveux sur la soupe elle vient remplir le quota,
définit par "le règlement Américain des blockbusters qui sortent pour
Halloween". Faut bien vendre du pop corn.
Tout
n'est que lassitude, du jeu des acteurs, jusqu’à leurs directions.
Les pièges concoctés par Jigsaw pour cette nouvelle
saison,...euh,...année, sont inintéressant au possible, comme si les
idées manquées. Ben alors JigJig, c'est pas parce que l'on est mort
depuis 6 films sur 7, qu'on doit se laisser aller. Heureusement certain
"Flash-back" interviennent par-ci, par-la, pour nous convaincre qu'il
n'y a vraiment rien à comprendre, en fait. Ça se mélange trouve des
liens la ou il n'y en a pas, mais au final (et au début), on s'en fout.
Je pense que cela sert surtout à rassurer le spectateur, sur le fait que
c'est bien le film qui est complètement con et non pas lui. Ouf ! on aurait pu en douter.
Autant
"SAW 1" est un véritable chef d'oeuvre, digne du grand "SE7VEN" de
"Fincher", autant du 2 au 4, ils se laissaient regarder comme des gros
"Nanard" avec quelques bonnes scènes fandardes, autant depuis le 5, cela
ressemble à du Julie Lescaut, mal foutus (pléonasme?), ou des scènes de
pseudo "torture-movie" (ou "Turtle-Move, aux choix) viennent encore
plus plomber l'ensemble.
Pour conclure, on se frotte les fesses et on se dépeche de tirer la chasse parce que ça s'en pas la rose.
0,05/10 (parce qu'il parait que c'est le dernier)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire