mardi 30 octobre 2012

En avant!... Strange-Movie me voila

Bonjour à vous,
voici mon dernier post sur Fight-Dub !

Comme vous le savez tous maintenant, j'ai commencé ce blog, pour et avec mon meilleur amis, maintenant décédés. Il avait pour but, de mettre à plat nos derniers films vus, ainsi que les jeux vidéos, mangas, etc... Petit à petit, notre passion grandissante pour les critiques de film d’horreur on pris le pas sur notre objectif initial.
Dans cette idée nouvelle, notre blog à commencé à être visité par des personnes extérieures, y trouvant certainement son compte. Mais une fois qu'il fut partit, je n'avais plus la motivation de continuer, voila pourquoi ce blog et tombé lentement dans l’abandon. Il ne este que 10% des sujets actifs. Le niveau était trop bas pour les laisser en ligne, restent les moins pires.
Mais voila, Strange-Movie m'a recruté pour devenir critique sur leur site un peu plus professionnel que ce blog. Et je suis partis, vers de nouvelle aventure, retrouvant un nouvel intérêt dans le fait d'écrire encore et toujours, pour être de plus en plus,....moins mauvais!

Voila, je vous attend sur http://www.strange-movies.com

http://www.strange-movies.com/

 Mon pseudo sur le site est "MARC D'Oc" mais je pense que vous retrouverais vite mon ton,...décalé?!!!   ^^
Merci pour votre intérêt et vos commentaires

Je vous attends et n'oubliez pas "ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort" mélangé à "Let there be rock"
...et en passant, ayez une pensé rapide pour "houba hop" il comprendra

Marc Codina

lundi 1 octobre 2012

Saw 7 de l'archiduchess!

Préparez vous à toucher le fond, le puits sans fond des suites à répétition et des gonflements de prépuce Russe !


Synopsis : Alors que la bataille fait rage autour de l’héritage terrifiant du Tueur au puzzle, un groupe de survivants s’associe et fait appel à un autre rescapé, Bobby Dagen, une sorte de gourou. En croyant trouver de l’aide, ils vont vivre le pire. Bobby cache d’effroyables secrets. Une vague de terreur sans précédent va surgir…



La grande promesse de ce énième SAW, laisse espérer un meilleur avenir pour la série, puisqu'il se sous-titre lui même, "Chapitre Final" et ça ferait du bien à tout le monde que cette sécrétion du premier volet s’arrête là. Quand le réalisateur des chapitres précédents, s'appelait "Bousman"
on savait à quoi s'attendre. Mais la non. Ce n'est pas que l'espoir soit au rendez-vous, mais bon,... on regarde ces "Saw" (cailloux, feuilles) comme une vache regarde passer un train, ou le "juste prix", Il est bon parfois de s’arrêter de réfléchir et ici c'est primordial, car si par malheur vous essayez de comprendre les relations, ou les rapports entres les différents protagonistes, voir espérer se rappeler les six chapitres précédents, tout aussi décousus, pour comprendre l'ensemble de ce méli-mélo, vous comprendrez alors pourquoi Jigsaw, se faisait appeler le "tueur au Puzzle". Le meilleur des puzzles est celui qui n'a aucune solution, mais qui fait croire le plus longtemps possible qu'il y en à une, aux blaireaux. Sans émotions, sans envies, dans un décor que Derrick aurait refusé lui même, car trop triste, les acteurs se croisent, semblent se reconnaître, balancent deux phrases de dialogue insipide et s'en vont. Mais quoi? Pourquoi, il sort d’où lui, et ELLE là; c'est celle du troisième ou du quatrième????...non petit, ne réfléchis surtout pas, il est là le piège, car voila arrivé la scène de torture. Comme un cheveux sur la soupe elle vient remplir le quota, définit par "le règlement Américain des blockbusters qui sortent pour Halloween". Faut bien vendre du pop corn.


Tout n'est que lassitude, du jeu des acteurs, jusqu’à leurs directions. Les pièges concoctés par Jigsaw pour cette nouvelle saison,...euh,...année, sont inintéressant au possible, comme si les idées manquées. Ben alors JigJig, c'est pas parce que l'on est mort depuis 6 films sur 7, qu'on doit se laisser aller. Heureusement certain "Flash-back" interviennent par-ci, par-la, pour nous convaincre qu'il n'y a vraiment rien à comprendre, en fait. Ça se mélange trouve des liens la ou il n'y en a pas, mais au final (et au début), on s'en fout. Je pense que cela sert surtout à rassurer le spectateur, sur le fait que c'est bien le film qui est complètement con et non pas lui. Ouf ! on aurait pu en douter.


Autant "SAW 1" est un véritable chef d'oeuvre, digne du grand "SE7VEN" de "Fincher", autant du 2 au 4, ils se laissaient regarder comme des gros "Nanard" avec quelques bonnes scènes fandardes, autant depuis le 5, cela ressemble à du Julie Lescaut, mal foutus (pléonasme?), ou des scènes de pseudo "torture-movie" (ou "Turtle-Move, aux choix) viennent encore plus plomber l'ensemble.
 Pour conclure, on se frotte les fesses et on se dépeche de tirer la chasse parce que ça s'en pas la rose. 

0,05/10 (parce qu'il parait que c'est le dernier)

mercredi 12 septembre 2012

Natas-Fd

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Natas-Fd

[ Critique ]- Cabin in the wood ( Drew Goddard ) - La cabane au fond du jardin



Synopsis:
Cinq amis partent passer le week-end dans une cabane perdue au fond des bois. Ils n’ont aucune idée du cauchemar qui les y attend, ni de ce que cache vraiment la cabane dans les bois…
Signé par deux maîtres de l’horreur, Joss Whedon et Drew Goddard, voici un film qui réinvente et repousse toutes les conventions du genre. Attendez-vous à découvrir un nouveau niveau de terreur…


Un film qui réinvente le genre?? En démarrant sur un scénario vu et revus ? ...ces sous-titres racoleurs, encore et toujours. Tout ça pour gommer un film que l'ont sais déjà mauvais à l'avance. Mais voila. Là ou passe "Cabin in the wood" (festival divers) les critiques sont plutôt bonnes, voir excellentes.Tout le monde est d'accord sur une chose en tout cas, il veut faire quelque chose de différent. Cela doit mériter son pesant de cacahuète, vus l'environnement sclérosé du cinéma d'horreur actuel. Rien ne sort de l'ordinaire. Ou pas grand chose !


Donc, pour ne pas spolier, car ce serait assassin, je ne vais pas aller plus loin que ce que montre déjà la bande annonce. Le film s'ouvre sur deux personnages en blouse blanche? Premier point d’interrogation. De plus ces deux scientifiques, ont un humour totalement décalé, voir absurde et je dois avouer, qu'il fait souvent "mouche". L'aspect décontracté de cette scène d'introduction, nous plonge dans un laboratoire, pendant un journée comme les autres. En fait ce lieu, servira au réalisateur, a faire des mises en abîme régulière, rythmant ainsi de manière contrôlée le reste de la trame. Je m'explique,....ben non, je "Spoile" pas je vous ais dit!
Puis nous sommes plongé dans un campus d'étudiant, qui pour une fois ne sont pas (totalement) crétin. Le beau gosse est férus de littérature (comme quoi), la blondasse pas relou, le fumeur de pétard bien sympa et pas complètement a l'ouest, bref. Stéréotypé teenager lambda, mais pas trop. Mais quand même.

Et voila cette bande de jeune con post pubère, partir se faire ouvrir la jugulaire. Pfff,...non et non. Marre de tout ça. Et c'est la que tout bascule. On commence a comprendre ou le scénariste veut en venir, loin, très très loin. En fait le plus loin possible. Les personnages se mettent en place malgré eu, la blondasse devient une grosse cochonne ("mais pourquois elle fait sa pute, c'est pas son style?"), lécheuse de loup décapité et séché (scène sexy et dérangeante à la fois), le gros malabar, devient malgré lui un gros blaireaux misogyne (chassez le naturel!), le fumeur de beuh la trouve très forte et c'est sans comptés sur la nunuche qui se découvre vierge, malgrès la perte de son hymen bien avant les événements. Nous comprenons ce que font les scientifiques dans leur laboratoire. Sur leur nombreux moniteurs, ils mettent en place un film d'horreur des plus classique; piquant ça et là les ficelles du Scream, Stop! j’arrête là pour le déroulement du film.


A vrais dire, Drew Goddard, à déjà participé à Cloverfield, ainsi qu'a Buffy. On retrouve donc cette image au couleur légèrement télévisuelle, cette pélicule froide d'un sale clip Mtv. Du coup cela rajoute a l'aspect studio ou plateau de TV. Le coté adolescent peut aussi en rebuter quelques un. Mais quand ça démarre, on s'accroche aux accoudoirs tel une attraction Disney. Car oui, Cabin in the Wood, n'est pas à proprement dit un film, mais plutôt un concept. Tel un Cloverfield, ou même un Rubber il nous impose une trame en permanente évolution, un plaisir décuplé de minute en minute. On a enfin l’impression de ne pas avoir déjà vus et revus le même film. Même si il n'est, en fait, qu'un pot pourris de tout ce que le genre horreur, Slasher, nous a donné depuis de nombreuses années. Après comme tout film concept, on adhère ou pas. 
Au final on passe un bon moment. On est surpris et si on met de coté sont coté "américan Pie" et ses références perpétuelles à la limite de l'overdose ( Evil Dead, Vendredi 13, Halloween, Cube, ...). On le re regarde, juste pour le plaisir de décrypter le fond et certaines scènes trop électrisées, pour avoir le temps de les apprécier à leurs juste valeur. Bravo on en redemande et, fait rare, on aimerais bien voir une suite. Même si je ne vois pas bien comment vu le final! Allez y les yeux fermés.

09/10

samedi 1 octobre 2011

[ Critique ]- SCREAM 4_Wes Craven ( SCRE4M pour les intimes !)



Synopsis : 10 ans se sont écoulés depuis les terribles meurtres commis par Ghostface. Sidney Prescott est parvenue à tourner la page mais c’est tout de même avec appréhension qu’elle retourne à Woodsboro pour le lancement de son premier roman.
Ses retrouvailles avec sa cousine Jill ainsi qu’avec le duo de choc Dewey et Gale seront de courtes durées : Ghostface est de retour mais cette fois-ci les règles vont changer.



L' Appréhension:
Alors moi, je pose une question; "Why?" ou plutôt "Winehouse?", voir "WHy WhY West?", ou pour les moins "Rosbif" d’entre nous; "Diantre Pourquoi?". Pourquoi, et cela est même dit dans le film, les studios hollywoodiens ne financent  t-il pas de nouveau concept, des trucs à priori un peu fou, "Cowboy et Alien" ça compte pas avec un Favreau "Super-Bancable" aux manettes. Saw 128, Freddy 50-12, destination finale 3,14. Alors pour un tel projet casse gueule, il fallait le maître des suites tout, le monsieur du bon concept que l'on revend quand il est devenue rentable, je veux parler de Wes Craven. Monsieur Krugger, nous en à fait des suite et pas que des quintes Flunch. A vrais dire, ce serait plutôt des quintes de toux. Comme pour ce film, des années 70, sans vraiment un quelconque intérêt, sauf pour un fratrie de demeuré, scandant les louanges du Monsieur. Car à la base,  "la colline à des yeux", était un petit film sans charisme et avec une intention de péter bien plus haut que son cul. Bien entendu, il a eu du succès, une fois passé à la moulinette acérée de notre "Aja" national. C'est donc en toute logique lucrative, que Craven est revenus sur son concept initial en réalisant la suite "la colline à des yeux 2". Racoleur, brutal mais gratuitement, scénario crétin, cette suite s'est donc effacée devant le remake de Aja. Pour en revenir à Scream, le débat est long. Souvent considéré par une génération de Geek républicain, comme étant l’assassin de toutes une génération de film d'horreur, ils fut aussi récompensé par un autre groupe de Geek, plus rasta dans l’âme, qui le qualifieront de "coup de pied dans un genre trop statique". Encore une fois, un Geek à toujours raison, peut importe son opinion, puisqu'il n'y a pas vraiment de vérité au final. Ce qui est flagrant, c'est la mutation du genre horrifique après le blockbuster "Scream 1". Le genre pris alors une bonne dose d' E.P.O, de plus en plus de film "décalés" gagnèrent leurs places dans le box-office Américain et international, mais en même temps, les clichés issus du genre fondateur furent balayés. Terminé les "je reviens dans 5minutes", ou les assassins dans les angles morts, les twists tirés par les cheveux. Il fallait innover, éviter les lieux communs et les thématiques ancestrales, quitte à mélanger différents style, comme les "Torture Movie", le Gore, le "policier", les "Thriller (who's Bad)"."Scream", dans tout le cas, à quelque part obligé les studios à renouveler le style bien trop figé par des références et un public de passionnés pointilleux. Et après?



Vision:
Comme on ne perd pas les bonnes habitudes, Craven nous plonge dans un prélude de film dans le film dans le film. Comme introduction c'est sympa et comme ce n'est pas exagéré ni trop long on adhère forcement. Ce qui étonne, pendant ce visionnage, c'est ce concept, toujours aussi efficace. A la manière d'un Satoshi Gon, il aime mélanger les références, jusqu’à l'indigestion. Craven n'a pas le niveau de Gon et il ne peut pas faire des films reposant uniquement sur un concept de "mise en abyme", tout le monde ne peux pas faire un "Perfect Blue". Essayons de rester, bon public. Nous somme devant de "l'entertainement", après tout, classification que ce réalisateur affectionne. C'est à partir de cette constatation, que l'on peut apprécier un "Scream". Les vedettes récurrentes sont toutes là. Moins en instance de divorce que dans la vie réelle, mais les rides en plus, ces navigateurs chevronnés de la presse people, (plus que du succès) donne envie de prendre la places du tueur masqué, pour enfin les voirs mourrir. Cela reste fun, peut être aussi parce qu'on attend que ça au final. J'ai passé un bon moment, à vrais dire, loin de mon esprit critique et surtout de mon cerveau. Plus proche d'un thriller, ou d'un film à suspens, on s'éloigne catégoriquement du genre horrifique. D’ailleurs, à part d’être ouvertement l'un des plus gros hommage au genre, peut on qualifier, "Scream" de série horrifique?
Non, je pense pas. L'ambiance générale est bien loin d'un "Haute Tension" de Aja (encore et toujours), voir moins stressant que "les nerf à vif" de Scorsese. Un film pour ado bien plus jouissif qu'un "Twilight" ou un "SAW-ssisse".

 
(par contre le personnage de Sidney, Pff....MAIS KELLE CRèVE par pitié !!)

Conclusion:
Il y à des ses suites qui sont le bienvenues et il ne faut pas les bouder. Nous sommes dans une période de suite, de rallonge éclectique (et non pas "rallonge électrique"), ce n'est pas pour autant qu'il faut jouer les réfractaires. "Scream" à toujours eu un avantage considérable, l'étendu du concept de base. Élastique, voir étirable presque indéfiniment, il devient une poutre de Bamako scénariste. Craven le sait et il s'en amuse. Dans cette brèche lucrative du Blockbuster de Halloween, de nombreux projets sont possibles du moment ou ils sont fun, qui représentent bien le jours férié concerné et si sont tirés de classique du genre,...c'est encore mieux. "Scr4m" en est l'exemple type et il l'assume parfaitement ! Après,...cela reste un "Scream" sans innovations flagrantes.

06/10

(parce que au bout du quatrième, ça aurait pus être pire)